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Contre l’Ordre Mondial : le Fascisme !

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Message par Invité Ven 22 Mai - 7:14

Vous le savez, je vais reprendre certains de mes écrits anciens et tenter de rédiger une doctrine. Doctrine que j'aimerais publier officiellement. J'estime aujourd'hui que nous devons briser le parlementarisme comme nous devons combattre la république.

Je vous demande de ne pas intervenir sur ce lien. Si vous avez des commentaires, faites les moi en MP. J'en tiendrai compte. Vous devez comprendre que ma démarche, en publiant ici, est de sauvegarder, aussi, mes écrits. J'ai confiance en mes camarades même si Corinne a trahi cette confiance.

Il s'agit ici de mon travail de ce matin. 4 feuillets par jour est une bonne approche. Il faudra cependant retravailler les choses. C'est aussi pour cela que votre aide est nécessaire, pour me dire, très sérieusement, où peuvent se situer certaines incompréhension.

SH

Julius

-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-



Contre l’Ordre Mondial : Le Fascisme !
 

Lyon
 

2015
 

Droits de traduction et de reproduction réservés.
 

 

 

 


CHAPITRE PREMIER
 
LE PARLEMENTARISME
 
I.
 
Le parlementarisme est aujourd’hui un système politique qui a fait son temps. Et même si certains, encore aujourd’hui, veulent être les admirateurs de cette structure politique, fondateurs que nous sommes de l’idée d’empire, au sens précis d’un espace vital à la survie de nos peuples, nous devons combattre toutes les formes politiciennes qui ruinent jusqu’à nos approches sensibles de la vie et du combat.
 
Dans tous les cas, ce n’est pas en cherchant à réduire les inégalités sociales et identitaires que nous parviendront à nous maintenir comme Nation souveraine en nous adonnant à ce culte déstructurant. Effectivement, compte tenu des bouleversements sociétaux, du remplacement progressif de l’identité même de la France, du essentiellement à l’émergence d’une force politique musulmane en puissance, il devient dangereux de faire reposer le gouvernement de notre pays sur une représentation des différentes communautés agissantes. Jamais plus, compte tenu de la force démographique de l’Islam, nous parviendrons à concilier nos principes de liberté et le principe d'autorité généré par un Islam de combat.
 
Le parlementarisme actuellement est mort. Il est mort des régressions identitaires de notre société. Il faudrait pour le rétablir, pour peu que cela encore possible, tenter d’une nouvelle révolution. Révolution qui aurait cependant une vision césarienne avec un nouvel Empereur ou un nouveau chef charismatique. Une révolution nationaliste expansive et universelle. On ne saurait faire moins. Ainsi et non pas autrement, doit se configurer au premier trait le fondement de la société des européens.
 
Tel doit être le nouveau triomphe de la Révolution.
 
Seulement, et ce point importe peut-être plus que le premier, cette vision d’une société coupée de ses attaches parlementaires doit être une société en armes qui comprend que le parlementarisme est aujourd’hui inacclimatable en France. France qui, ne l’oublions pas, veut aujourd’hui répondre aux appels du muezzin plutôt que de s’accorder des anciennes doctrines sociales et politiques européennes héritées.
 
La République, autorité de ce temps, selon notre propos, contredit, à angle droit, toutes les idées qui prônent la liberté et l’égalité. Les faits musulmans modernes mettent en pièce ces rêveries maçonniques. On se souviendra de la sollicitude entourant les « minorités » extra-européennes qui n’a d’égale que la condescendance visant les « Français de souche ». Ces Français de sang qui sont dans le creux des politiques républicaines. De ces Français de souche qui sont les victimes silencieuses des revendications agressives des « minorités » ethniques, confessionnelles ou culturelles. De toutes ces nuées sauvages qui récriminent à ciel ouvert et toutes ont guichets ouverts dans les bureaux du compassionnel, « multiculturalisme » oblige !
 
C’est d’ailleurs pour cela, en cela que le combat contre la République et le Parlementarisme doit être énergique et radical. Aucune république aujourd’hui, en France, ne sera en mesure de penser aux seuls Français de souche. La démocratie que nous percevons aujourd’hui à forme variable et résulte d'une conception multiculturaliste qui ne saurait se comprendre comme unitaire. Et si dans les temps pas si ancien le parlementarisme a pu s'acclimater en France, ce fut surtout pour raisons particulières à la race et à l'évolution historique.
 
Evolution historique qui ne fut jamais révolution multiculturelle. Dès lors l’idée que nos ancêtres se faisaient de la République, ou même du parlementarisme, était sans rapport avec le monde actuel. Notre présent n'offre rien de comparable avec et autre France d’il-y-a à peine 70 ans ! Jadis, les gouvernements avaient un caractère personnel et chaque bouleversement, fusse-t-il révolutionnaire, bon gré mal gré amenait, avec d'autres hommes, d'autres idées et d'autres principes. Mais ces principes restaient ceux fomentés dans un même creuset identitaire.
 
En cette idée, les organes essentiels du parlementarisme avaient un pouvoir héréditaire et les deux assemblées représentant les deux grands intérêts de toute société humaine : le peuple et les représentants de cette nouvelle aristocratie populaire qu’est et demeure le parlementaire, étaient elles-mêmes la représentation naturelle de la tradition historique.
 
Qu’en est-il aujourd’hui ?
 
Quel est d’ailleurs le spectacle qu'offre le parlementarisme de la République de 2015 ?
 
Des ministres, nés d'hier, portés au pouvoir par accident, renversés par des majorités incertaines, ramenés par les nécessités du moment, dans des combinaisons bâtardes qui déconcertent tout équilibre des partis, amenés aux sacrifices les plus dangereux pour maintenir une majorité qui leur échappe, majorité qui n'est fondée sur aucun intérêt durable et fixe, produit elle-même d'élections sans direction, sans concert préalable, provoquées par nécessité gouvernementale, comme toutes les élections, n'ayant pu soulever qu'ambitions et appétits, ne représentant aucun principe, ne répondant à aucun besoin.
 
Pire, au sein de notre pays, des politiciens se rendent complices de l’islamisation. De ces idiots utiles d’un islam de conquête qui, depuis les revendications des musulmans, au motif de combattre les dérives radicales, en sont à vouloir faire émerger des partis démocratiques ethniques différenciés. Comment dès lors un pays comme le nôtre se retrouverait au sein de nouvelles assemblées parlementaires claniques ? Comment ne pourrait-on pas se méfier de ces imams et autres activistes musulmans qui aspirent imposer l’islam par la démocratie ?
 
Un pays, se retrouvant au sein d’un système parlementaire multi-ethniques serait dans la même incertitude politique que l’ex-Yougoslavie. On se souviendra de cette ancienne nation sacrifiée sur l’autel de Maastricht … A croire qu’il existe un plus grand décalage entre les représentants politiques et les peuples que jadis … !? Cela traduit dès lors une césure de plus en plus importante entre les politiciens et les populations vivant sous la domination de leurs lois. On perçoit donc très bien qu’une Nation se retrouvant au sein d’assemblées parlementaires aussi incertaines, serait à l’origine d’une guerre globale européenne. Guerre qui sans doute sera nécessaire si nous voulons élaborer une Nation européenne monoculturelle.
 
Dans tous les cas, face à la crise profonde que nous subissons, il est évident que nous devons rompre d’avec les gouvernants et autres décideurs qui aujourd’hui font le choix de sacrifier notre civilisation en optant pour une vision mondialiste des échanges culturels et identitaires humains. Et se faisant, parce que nous voulons un changement radical dans nos manières de faire de la politique, nous ne devons plus vivre dans l’incertitude d'action qui est à l’origine de notre perte.
 
Contrairement au Front National, nous ne devons pas nous engager sur des chemins sinueux. C’est souvent un défaut de direction qui engendre le chaos. Et ce n’est pas parce que nous sommes intégrés à un système politique qui génère des majorités inexpérimentées, dont l'éducation politique est toujours à faire, qui ne peut fournir qu'un personnel gouvernemental inapte, sans confiance envers le Peuple que nous devons accepter de sombrer avec eux.
 
Ce n’est pas en imitant les valets serviles du système démocratique, lesquels n’ont aucune confiance dans leurs chefs, sans point d'appui sérieux dans leurs principes, toujours à la merci d'une tourmente électorale, n'ayant de préoccupation que l'électeur, n'apportant dans les affaires d'autre assiduité que celle de cet intérêt contingent et misérable, docile aux influences locales, aux mouvements brusques de l'opinion, toujours incertaine elle-même, se fâchant contre les ministres qu'elle a élevés, les renversant, puis revenant à eux, leur passant tout ou en exigeant tout, embarrassant la marche du gouvernement jusqu'à le rendre impossible, fatiguant ainsi la nation et d'elle et du système.
 
Le temps en est passé, et le malaise actuel vient sans doute de l'embarras qu'éprouve le pays à s'orienter. Or, selon nous, l'orientation est fatale. C’est donc le fascisme qui seul rétablira la France. Une France ainsi administrée ira selon la marche des événements. Le fascisme ou le concept supérieur de « Communauté du Peuple ».
 
Dans tous les cas, il s’agit bien pour nous de penser l’Empire ou de militer pour une Europe fédérale. Et que chacun mesure bien qu’entendre l’Empire, c’est s’assurer que le gouvernement qui émergera sera celui qui supprimera définitivement tout ce qui fait obstacle au bon gouvernement de nos peuples.  Et de la même manière, concevoir une Europe fédérale, c’est comprendre que chacun de nos gouvernements, même s’ils conservent une approche politique sensiblement différente, se dessaisira progressivement des pouvoirs qu’il détient. Car même approcher l’idée fédérale ne doit pas nous faire oublier la nécessaire Europe !
 
S’agissant du parlementarisme, au sein de cette nouvelle Europe, il ne peut plus exister. Ou tout du moins, il ne peut se survivre selon l’idée commune actuellement admise et qui entend représenter la diversité culturelle de nos nations respectives. Si parlementarisme, au niveau de l’Europe que nous souhaitons, et que nous appelons, il ne sera que l’unique représentation des intérêts stricts des uniques nations qui composent et composeront notre Europe. Autant dire, une fois de plus, que chaque Etat européen tendra à observer le concept de « Communauté du Peuple ». Idée qui rend l’unicité culturelle comme vitale à la survie de notre Race. Il n’est plus question, dans tous les cas, selon nos valeurs, que nous puissions encore accepter des politiques globales contraires à l’intérêt supérieur du Peuple. Nous voyons depuis de nombreuses années des politiciens, tous parlementaires, tantôt mener une politique libérale, tantôt une politique pseudo-réactionnaire. Depuis trop longtemps, effectivement, nous ne voyons pas autre chose que la succession au pouvoir d’hommes influencés par les internationales et autres lobbies globalistes. Lesquels en toute conscience ajustent des politiques contraires à nos intérêts propres. De ces parasites qui non content de vivre sur les espoirs trahis des peuples, reviennent vers les citoyens de ce temps effarés par les effets des politiques qu’ils ont menées, oubliant jusqu’aux lois assassines qu’ils ont fait voter.
Chacun doit donc comprendre que le parlementarisme est une hypocrisie et une immoralité. Si nos députés avaient une véritable indépendance de caractère et de jugement, le système parlementaire répondrait à nos exigences supérieures. Cependant, et Charles Maurras eut souvent raison lorsqu’il prétendait que système démocratique était le gouvernement des incompétents, tant finalement tous les députés actuels fondent l’inertie du pouvoir et la ruine du Peuple.
 
Reconnaissons bien, et ce point est important, même si des élus frontistes simulent l’action au parlement, que les députés utilisent la faiblesse des hommes pour seuls estimer compter. De ces parasites républicains, que l’on donne aussi pour être démocrates qui « parlent à tout propos de la conscience nationale » (Charles Maurras, De la Politique naturelle au Nationalisme intégral, Librairie Philosophique J. Vrin, Paris 1972, Le Système démocratique, page 84) mais qui participent aujourd’hui à la déconstruction de notre nation. Une fois de plus, et ce n’est pas une répétition, si les parasites parlementaires avaient une véritable indépendance de caractère et de jugement, la démocratie se comporterait selon une sensibilité, une intelligence, une mémoire, une réflexion, une volonté générale qui servirait au destin de la France.
 
Pour l’heure, il n’en est rien. Chaque député, de gauche comme de droite, socialiste, communiste ou « libéral », souvent les deux ou les trois à la fois, détruit tout ce que notre communauté ancestrale a produit. On se demande même pourquoi il devient utile de voter et de porter au pouvoir des hommes qui finalement ne font que ce qu’ils veulent, coupés qu’ils sont de l’idée supérieure de servir aux destinées de la Nation. Immédiatement après avoir été élus, ils promulguent des lois qui vont jusqu’à contredire leurs orientations idéologiques initiales, lesquelles furent celles vendues à l’électorat. Immédiatement après avoir été élus, ils se vendent au plus offrant et mènent des politiques néolibérales qui ne servent qu’aux intérêts du capitalisme apatride. Il serait plus honnête pour le système de briser l’idée de démocratie et de former des gouvernements qui auraient depuis longtemps prévu une politique selon leurs vues mortelles.
 
Car, et c’est là justement ce qui démontre que le parlementarisme est une hypocrisie, un mensonge, à quoi sert le débat si la majorité est arrêtée à l'avance ? Pourquoi continuer à mentir aux peuples ? Pourquoi tendre à faire croire que les convictions des Hollande & Cie sont inébranlables lorsqu’on perçoit qu’aucune différence particulière ne le différencie du mondialiste Sarkozy ?
 
La vraie question est d’ailleurs autrement plus simple. Il suffit de se demander à quel prix ils ont fait le choix de renier leurs convictions et quels avantages ils ont à retirer de leur soumission aux globalistes, de ces hommes et femmes qui pensent déjà à la gouvernance mondiale ?
 
Quel est donc le prix des convictions de celles et ceux qui gouvernent la France aujourd’hui ? Ou plutôt, car c’est notre manière de penser, à nous autres nationalistes, quel prix donner à ces fausses convictions tant nous savons, depuis l’avènement de la démocratie, que ceux qui prétendent administrer nos destins n’en ont aucune (de convictions) et n’en auront jamais.
 
L’imaginaire que nous avons des politiques menées et du politique en général est tronqué. On se demande toujours quel est le principe qui gouverne le système. C'est-à-dire que nous admettons, en bonne conscience, ignorer finalement le principe qui permet aux différents gouvernements parlementaires de promouvoir une idée générale politique favorable au Peuple. Il est donc évident que pour de nombreux français de souche, nous n’osons imaginer l’ignorance des autres, les principes qui gouvernent les politiciens sont inconnus de la majorité silencieuse.
 
Cependant, nous pouvons néanmoins deviner quel est ce principe. Selon nos sensibilités nationalistes radicales, le principe du parlementarisme repose seulement sur l’idée d’une majorité mondiale. Une idée formée par les agents de la mondialisation qui vont jusqu’à nier la sensibilité des différents peuples qu’ils détruisent de l’intérieur. A vrai dire, il n’existe plus aujourd’hui de véritable conscience nationale et gouverner, c’est assurer la transition identitaire mondiale. Les électeurs, dans ce jeu mortel, veulent dès lors rester fidèles à des sentiments dépassés et vecteurs de ruine intérieure car, et c’est là aussi une règle à retenir, les élus resteront toujours fidèles à cette forme de pensée de gouvernement mondial qu’ils auront intérêts à le rester. En d’autres termes, tous aspirent sauver leurs petits intérêts mesquins dans un contexte global de ruine.
 
De là, voter, ou intégrer l’idée de démocratie comme source de bienfaits pour les Peuples européens, c’est accepter le démembrement de nos nations mais aussi la ruine totale des peuples qui fondent ces dites nations. Voter pour des élus démocrates, et ils le sont tous, c’est accepter de les voir, un jour ou l’autre, approuver publiquement ce qu’ils condamnent, à priori, dans leur conscience.
 
Le seul principe d'une démocratie véritablement représentative serait le vote par raison, persuasion, patriotisme ou tout autre motif déterminant, honorable et avouable, sans préoccupation de majorité compacte, formée à l'avance, sans faux point d'honneur, de coterie ou de groupe ; vote rendu dans l'indépendance de mandats de confiance. Cependant, la sphère du politique se réduit aujourd’hui à tout autre chose. Il est aujourd’hui inutile d’espérer rencontrer des hommes encore debout dans ce champ de ruine qu’est le système néolibéral. Nos représentations idéales ne suivent pas le modèle « contractualiste » des institutions européennes actuelles mais aussi de cet autre modèle US qui tend à fonder et valoriser des fonctions politiques contraires aux intérêts vitaux des peuples encore indépendants.
Et quiconque chercherait ou espèrerait voir des hommes assemblés lever la main ou prendre un bulletin sans jeter les yeux sur leurs voisins ou, pire encore, prendre leurs ordres au sein des loges maçonniques, il ne le trouverait pas dans les rangs républicains et démocrates. Ces hommes sont nationalistes radicaux et ne peuvent se satisfaire d’autre chose que d’une politique naturelle, une politique radicale et désintéressée.
 
Comment d’ailleurs en serait-il autrement lorsqu’on entend, plus d’une fois, dans la presse, des élus nous dire qu’ils se portent comme soutiens à des entreprises électoralistes qui n’ont pourtant pas leurs opinions, leurs valeurs … !? Pourtant, au sein même du gouvernement de François Hollande, combien veulent soutenir leur ministère au prétexte de soutenir leur chef … !? Au reste, le parlementarisme dans sa vérité, c'est-à-dire avec un suffrage sectaire, ne saurait véritablement déterminer un programme sincère. N’en doutons pas, l’élection des représentants du peuple est une majorité constituée à l'avance sur un programme déterminé.
 
Dans les harmonies du régime actuel, et Manuel Valls en est le plus parfait représentant, les peuples voudraient avoir des idées communes, alors que tout nous sépare de l’autre. Et c’est avec une série de résolutions ou de réformes mal arrêtées que les élites politiciennes modernes se coupent de leurs bases mais aussi des idées qu’ils défendent. Et nous pouvons nous rendre compte que c’est une majorité d'hommes résolus à soutenir une politique gouvernementale assassine de nos libertés et de nos équilibres sociaux qui se mobilisent actuellement. En cette conscience, on comprend très vite que nous devons en revenir à une politique naturelle et que le suffrage universel n’est qu’une mauvaise approche du gouvernement d’un pays, d’une Nation. La France connaît le gâchis et l’humiliation par le parlementarisme.
 
Et puis comment en serait-il autrement tant le parlementarisme ne fait qu’opposer des minorités entre elles, créant de la division là où nous avons besoin d’unité. Les parlements ne servent pas de siège aux pouvoirs forts ; ils sont la pierre au cou pour les pouvoirs faibles. Et notre pays est faible aujourd’hui. Trahis que nous sommes par ces représentants populaires qui servent surtout aux intérêts de la Haute Finance apatride !
 
Ainsi donc la République Française est cette idée de l'irresponsabilité générale. Irresponsabilité globale puisque les électeurs s'affranchissent entre les mains de leurs mandataires, les mandataires s'affranchissent entre les mains des ministres, les ministres, qui affranchissent le chef de l'Etat, ne sont, en réalité, tenus qu'à rendre leurs portefeuilles. Tous ont le culte de l’incompétence … et l’horreur des responsabilités !
 
Forcés par les circonstances de ce temps de restructuration du capitalisme apatride, qu'ils aient bouleversé l'Etat, qu'ils aient méconnu les principes les plus élémentaires de gouvernement, leurs fautes sont toujours exclusivement
Politiques. Et cela même s’ils ont mis l'État dans une situation embarrassée, peu importe, à leurs yeux, c'est de la politique : ils sont remplacés, le peuple paie et continue de payer. Tout est dit.
 
Mais le peuple se lasse, il commence à se fatiguer de cette gérance malfaisante et d'espèce insaisissable, car à qui faire payer le dommage ? Se pourrait-il que le Peuple puisse préférer un système politique plus direct ? Car, en rapprochant de lui le Gouvernement auquel il se croit apte, le peuple doit entendre supprimer les intermédiaires et arriver à une sorte de gouvernement direct et fédéral.
 
Et de fait il doit pouvoir y arriver. Mais ce qui est à craindre, c'est que, se lassant de ces commissions et sous-commissions instituées à propos de tout, de cette initiative parlementaire maladive, qui fait tomber sur le bureau des Chambres projets de lois sur projets de lois, sans qu'aucun de ces projets puisse jamais aboutir, de ces leurres, de ces trompe-l'oeil, de ces apparences de dévouement à la cause populaire qui ne sont qu'une manifestation turbulente d'un zèle électoral malsain, le peuple, finalement, ne tente de substituer à l'action destructive de tant de mains l'action réparatrice et énergique d'une seule.
 
Car si la nation reste cette grande unité, ce grand pouvoir central à formes et
organes monarchiques qu'elle est encore à l'heure actuelle, nul doute que seule la main puissante d'un homme puisse quelque chose pour le relèvement de la patrie. Ce que tant d'hommes ont compromis, un seul peut le réparer. Il n'y a qu'un pouvoir central, personnel, qui puisse succéder à un pouvoir collectif, dispersé, dissipateur et destructeur.
 


 
 
 
II.
 
Le parlementarisme est à abattre car ce système n’est finalement qu’une fiction du pouvoir naturel. Chacun doit bien considérer que le parlementarisme fait naître de très nombreux problèmes. Il suffit d’ailleurs de constater comme sa base, la petite bourgeoisie lui échappe pour comprendre que toutes nos observations sont à considérer. Et puis, comment en serait-il autrement lorsque nous portons au pouvoir des hommes qui restent le produit d’une sélection mortelle. Les principes de ce régime ne sont-ils pas ceux qui esquissent la souveraineté de l’incompétence ? Ce régime n’est il pas finalement la meilleure représentation de la perversion du peuple ? Les élus aujourd’hui, que sont-ils si ce n’est les représentants des passions populaires ?
 
Disons les choses. Le peuple chérit la médiocrité à un tel point de vue que cela porte atteinte à nos valeurs nationalistes. Et forcés que nous sommes par les circonstances historiques, et peut-être aussi par la nécessité de gouverner autrement le pays, nous ne pouvons dans nos rangs que dénoncer les mandats des élus actuels. Y compris les mandats des pseudos-nationalistes frontiste tant finalement le mandat électif n’est jamais qu’un leurre.
 
Nous n’avons pas pour devoir de voter et l’intérêt du Peuple se passe de l’intérêt des partis. Dès lors, personne dans nos rangs ne peut plébisciter ces hommes, ces femmes qui demeurent les produits d'une sélection électorale emportée avec le suffrage restreint des parasites de la haute-finance apatride. A quelque degré que se soit, de près ou de loin, jamais ces parasites démocrates ne rencontrent le Peuple. La démocratie n’est qu’un concept rêvé, jamais avec persistance. C’est d’ailleurs en cela qu’elle montre beaucoup de non sens. En d’autres termes, les élus du suffrage universel n'ont rien de parlementaire. Le suffrage universel est un mensonge. Par contre, ce faux « Appel au Peuple », est une excellente chose pour nos gouvernements car, il informe. Il indique. Il renseigne le pouvoir en place sur « ce qu’on ne doit pas faire » pour brusquer les foules. Le suffrage universel est nécessaire à Z.O.G. à titre de renseignement.
 
Et c’est d’ailleurs parce que les pays nationalistes arabes n’avaient pas de système parlementaire que les USA mais aussi ses valets, ont tout fait pour les briser. Le suffrage universel est un bon moyen pour ruiner toute forme d’indépendance nationale et ne fait que fournir des ministres d'actions superficielles ou des élus à mandat défini, impératif, variable, organes des passions et appétits populaires autant qu'interprètes des larges courants d'idées qui, de loin en loin, se peuvent faire jour à travers l'évolution d'une nation.
 
Au-delà de ces jugements, aujourd’hui, dans un pays comme la France, subissant les invasions immigrées, les conditions de milieu ne sont pas favorables pour qui voudrait encore admettre le parlementarisme sur la base du suffrage universel. Et compte tenu de la transition démographique de ces dernières années, face au péril de l’islamisme mais également du fait religieux musulman tout court, la démocratie risque de nous déborder. Plus que jamais nous devons penser les conditions de notre survie culturelle.
 
Dès lors, lorsque les chômeurs ou les rares ouvriers déclarent qu’ils veulent marcher à la conquête du pouvoir, il convient bien qu’ils comprennent que cette quête ne peut se trouver que dans nos cheminements, nullement dans l’expression d’un vote à un traître maçonnique comme Mélenchon. Et d’ailleurs, le Peuple pourrait-il accepter de tomber plus bas qu'aujourd’hui ?
 
De même, posez-vous la question de savoir quand le Parlement a soutenu un gouvernement. En République démocratique, surtout en France, la Présidence est toujours opposable à son Parlement. A chef de l’Etat de « droite », les Chambres sont à « gauche ». Personne ne soutien personne. Tous ont cependant la volonté de renverser les gouvernements successifs. Et c’est ainsi que nous avons des chefs d'Etat refroidis et défiants, des hommes impuissants à conduire les bonnes réformes ou d’observer les bonnes postures envers les influences étrangères.  De ces présidents, comme François Hollande, et avant lui le nain Sarkozy qui aigris ou écœurés, se retranchent dans leurs petits profits, sans jamais se récuser. De ces parasites qui  aspirent cependant revenir aux affaires …
 
D’où le parasitisme politique exercé part tous les dirigeants des différents partis. De ces hommes, et femmes, en rupture sociale qui  grimpés à tous les mâts de cocagne gouvernementaux continuent si haut à profiter et à vivre sur le dos du Peuple.
 
Comment en serait-il autrement lorsqu’ organiquement le parlementarisme est fondé sur l’exploitation des majorités. De ces majorités qui se construisent sur la division.  L’idée restant pour ces parasites qu’une seule voix peut faire trembler une Nation comme la nôtre. Mais, nationalement parlant, pour être équitable, il faudrait élever les majorités aux trois quarts des voix et, nullement considérer les choix par moitié. Mais faire ce choix reviendrait à détruire le fond de commerce des politiciens et des partis républicains. Car, et que chacun mesure bien le propos, qu’'est-ce qu'une majorité de la moitié des
voix plus une ? C'est l'iniquité décorée du nom de légalité.
 
Et c’est d’ailleurs parce que nous fonctionnons ainsi que nous vivons les temps de l’irresponsabilité politique. Irresponsabilité qui engendre la ruine du principe même du commandement politique. En un sens, cela nous sert car tout ce qui entraîne l'irresponsabilité du chef de l'État, en l’occurrence François Hollande, affirme et conforte notre idée selon laquelle le fonctionnement démocratique est contraire à l'esprit républicain des anciens. C'est-à-dire, une forme nouvelle de monarchie élective.
 
Monarchie élective qui n’est nullement de nos valeurs. A nos yeux, même si ce concept n’est pas aussi éloigné de nous, il est plus qu’évident que nous devons combattre l’idée que le gouvernement de quelques-uns, au service de certains autres, puisse engager la Communauté du Peuple dans des cheminements mortels. De même, nous ne pouvons plus considérer comme acceptable l’idée d’une action et d’un contrôle séparé. Si actuellement l’action est laissée au  libre arbitre des gouvernants, comment mesurer le contrôle que les gouvernés peuvent exercer ? Se peut-il qu’un citoyen lambda puisse agir ? Nous savons que cela lui sera impossible. Il devra faire appel à son représentant légal. Son député. Un parlementaire.
 
En fait, et c’est là une question fondamentale pour qui veut mesurer le désastre du démocratisme, comment s'exercera le contrôle du gouvernement par le Peuple ?
 
Par des mandataires approuvant ou improuvant la conduite des ministres ou du Chef de l’Etat. En conséquence de quoi, les élus, agents commerciaux d’un parti politique donné, devront sanctionner les actions de leur parti ? Peut-on véritablement le croire. Et puis, même si cela devait se produire, quelle serait la sanction pour un ministre ou un chef de l’Etat démocratique ?
 
Pire, qu’est-ce que la responsabilité ministérielle dans le cas d’un pays comme le nôtre ? Qu'est-ce que la responsabilité collective de seize ministres parasites n'ayant à offrir que leurs démissions ? Que risquent-ils si ce n’est celui de ne pas survivre politiquement à de nouvelles élections ?
 
Nationalistes, nous percevons bien les travers du parlementarisme. Chaque fois nous retombons dans le régime électoral à jeu incessant, épuisant tout jusqu'à lui-même par lassitude et indifférence. Tout aujourd’hui, en France, réduit les champs des possibles. Et parce que tout dans la nation devient électoral, les rapports sociaux se tendent, deviennent haineux ou impossibles. Pire, mais serions-nous les seuls à en avoir conscience, l’immigration activiste est aussi un danger majeur. Une fois encore, la démocratie va nous déborder ! Nous ne maîtriserons plus rien et la France sera rapidement musulmane.
 
Comprenons tous que la responsabilité n'est pas moins illusoire dans la manière de gouverner un pays. Toute action naît d'un motif déterminant. Le motif déterminant d'un seul emporte la responsabilité aujourd’hui là où finalement les choix de François Hollande hypothèquent l’avenir de nos enfants … De notre groupe identitaire Premier ! (Car, et c’est un point très important, nous sommes Français de souche, le Peuple Premier de France !) Ainsi donc, le vote d'une majorité, bien qu'il se compose d'unités, est impersonnel et sans autre sanction que la sanction électorale dont il vient d'être parlé.
On ne peut pas se résigner à ne rien comprendre aux conflits qui s’annoncent en Europe. Nous sommes une Nation de Traditions séculaires en proie à des luttes interethniques. Les déterminations de la guerre qui vient reposent déjà sur l’idée de la représentation des minorités agressives. Le drame qui s’annonce doit tous nous mobiliser et en ce sens, pour ce qui nous importe aujourd’hui, nous devons bien comprendre que le vote du plus grand nombre, dans l’idée que nous avons de choisir les orientations politiques et sociales de notre Nation, est un crime pour nos espérances les plus sincères.
 
Par ailleurs, aujourd’hui, être d'accord avec les vues d’une chef d'État ou adhérer de près ou de loin aux valeurs d’un groupe parlementaire, socialiste ou UMPiste, parfois avec les deux pour certains, c’est participer au clivage du pays et à terme à la déconstruction de notre avenir social. Tel est d’ailleurs le  problème des majorités.
 
Conséquemment, nous ne devons pas être surpris du contexte politique et social actuel tant ces majorités dans leurs actions pratiquent des tours de passe-passe  inavouable. On se souviendra du gouvernement de Nicolas Sarkozy. Combien de socialistes firent le choix de rejoindre ses équipes ? Preuve s’il en est l’incompétence intellectuelle de ces parasites. Preuve est aussi que le peuple est inapte à choisir ses magistrats parce que se tromper aussi fort démontre que la masse chérit instinctivement ceux qui abusent d’eux. Mais une fois encore, il est aussi vrai que le peuple partage les mêmes émotions, les mêmes passions que leurs élites. Ces élus pourraient éprouver toutes les mauvaises manières que des générations d’hommes suivraient encore leurs instructions. Triste spectacle pour la moralité générale.
 
Le mandat électif est donc un instrument très grossier. La démocratie est un système qui ne peut qu’engendrer un régime politique d'équilibre instable. Combien de fois, et cela est toujours très actuel, un ministre fait voter des lois destinées à fournir uniquement sa carrière. Peu lui importe si ses actions ruinent des lois plus justes. Mais plus globalement, et c’est un fait récurent en démocratie, les pouvoirs sont toujours en lutte avec les deux autres. Et si certains croient encore voir dans le parlementarisme une garantie pour la liberté, ils se trompent gravement car l’essence même de l’esprit démocratique est impossible à garantir les lois naturelles humaines. Certes, on voudra que tous les hommes soient égaux. Des activistes gauchistes tendront détruire l’ancien monde pour permettre que toutes les inégalités disparaissent, tant artificielles que naturelles. Aussi à quoi peut tenir véritablement la faculté de dénoncer à la tribune les abus du gouvernement conduit à l'impossibilité de l'exercer du fait même que le monde est inégal dans ce qu’il est et dans ce qu’il produit.
 
Forcés que nous sommes par notre nature naturelle, on perçoit très bien que le système démocratique est un mensonge. Si le Parlement est encore un centre de pouvoir, il n’en demeure pas moins que l’on ne peut gouverner sereinement un Peuple selon un idéal aussi fragile, aussi instable. De même que penser d’un gouvernement qui serait toujours aux prises avec ses électeurs. Quelque chose doit nous effleurer en France puisque tous les gouvernements qui se succèdent, depuis de nombreuses années, n’arrive jamais véritablement à gouverner tant l’opinion publique est un frein aux réformes nécessaires. Que ne faut-il pas pour faire renoncer un gouvernement lorsque la crainte des électeurs se fait sentir … Et nous ne parlerons pas de cet autre crainte, toute élitiste celle-là, qui fait oublier aux ministres leurs grandes réformes tant ils ne veulent pas mécontenter les minorités qui garantissent les réélections …
 
La peur des électeurs ou la peur des citoyens. Là est encore un point important en démocratie. On attend d’ailleurs me ministre Valls porter encore atteinte aux libertés que les socialistes de nos grands-parents estimaient nécessaires en démocratie. La presse, par exemple, quelque fusse ses orientations, était défendue au nom de ces mêmes libertés que l’on donne pour démocratiques. Cependant, actuellement, la démocratie, la loi du nombre, engendre une répression contre les idées différentes de celles de la majorité agissante. La presse, dans un Etat équitable, assuré sur ses bases, est libre. Car, et c’est là aussi un autre point important à souligner, dans un état social et un état moral assuré, aucun abus ne saurait être craint par les tenants du pouvoir ou, de ces autres qui entendent aujourd’hui restructurer la république selon leurs exigences mondialistes. République que nous ne reconnaissons nullement dans ses formes anciennes comme dans ses formes modernes.
 
Seulement la crainte qui est la nôtre aujourd’hui, c’est bien de se rendre compte que la démocratie, sous les coups de boutoirs des lois votées par une pègre parlementaire assassine de nos valeurs héritées, est un système de répression à notre encontre. Plus d’ailleurs qu’à l’égard des minorités agissantes, souvent agressives. De ces groupes extra-européens qui réussissent finalement à rendre leurs abus indifférents tant ils sont choyés par les gouvernements atlantistes de ce temps.
 
La répression contre les nationalistes devient un « excès de pouvoir » et Manuel Valls, français de peu, est celui par qui le crime est venu. Et cet excès de pouvoir 'est le seul qui reste au système pour faire taire les voix divergentes. On s’étonne seulement que les beaux parleurs et les intellectuels de gauche ne se soucient pas de ces nouvelles lois liberticides, de ces attaques contre des intellectuels de seconde zone puisque coupés volontairement des orientations maçonniques du monde moderne.
 
Quelles belles libertés que celles accordées par le parlementarisme, par cette démocratie qui ne sait plus où elle va ! Sous le beau nom de respect des lois que leur variabilité rend assez facilement méprisables, encouragent l’assassinat de nos valeurs, de nos traditions. Pourtant chargés d’affects, de rêves anciens des hommes et des femmes se voient aujourd’hui poursuivis par la Légalité. Tout notre territoire tombe sous le coup des lois qui cherchent à faire naître un exotisme que seuls les lointains comprennent, de ces lois assassines qui amoindrissent l’homogénéité de notre civilisation.
 
Démocratie française, aux mains des étrangers ou des trop récents naturalisés, est un encouragement à la violation de nos règles, de notre morale politique et culturelle héritée. Bientôt, à n’en pas douter, les Taubira, activiste raciste, et ces autres tirés de leurs Bleds crasseux établiront un code politique spécial qui créera un réel apartheid social contre les membres de notre Communauté. Et au prétexte de ce démocratisme crasseux, les nouveaux dirigeants de la France voudront le contrôle de leurs régions respectives. Là est un autre sujet, mais nous devons nous attendre à l’émergence de revendications identitaires territoriales. En réalité, la parlementarisme ou la démocratie permet à nos pires opposants de se construire chez nous comme chez eux. Les lois qu’ils font voter sont des idées qui battront en brèche nos manières de nous penser politiquement. Nos libertés publiques seront bafouées.
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